Pendant un certain temps, les chercheurs pensaient que c’étaient les biophotons qui permettaient aux cellules de communiquer entre elles. La luminescence de toute cellule vivante a été découverte dans les années 1920 et développée à la fin du 20ème par le biophysicien allemand Fritz-Albert Popp. Aujourd’hui, les points de vue ont évolués mais on ne dispose d’aucun modèle scientifique pour expliquer cette communication.
La bioénergétique dispose d’un modèle du vivant dans lequel toute vie est reliés à la fois par l’émotionnel (plan astral) et le rationnel (plan mental). La communication intercellulaire peut ainsi être assimilée à une sorte transmission de pensées doublée d’un lien affectif entre les différents tissus. Toute cellule dans le corps est consciente de sa fonction et de la nécessité de communiquer avec les autres cellules afin de pouvoir effectuer les tâches qui lui sont confiées.
On comprend ainsi qu’une entrave ou rupture du champ d’information qui relie les cellules entre elles va avoir des conséquences. Cette manière de comprendre le fonctionnement tissulaire permet d’expliquer pourquoi les mémoires traumatiques peuvent avoir une action si importante sur le fonctionnement de notre corps. Dans une vision bioénergétique, les mémoires traumatiques peuvent non seulement trouver leur origine dans l’enfance, dans le prénatal mais aussi dans des événements survenus dans d’autres incarnations plus anciennes.