Les cellules communiquent

Comment ça fonctionne, la communication intercellulaire ?

Il y a quelques décennies, le physicien Fritz-Albert Popp a découvert une faible luminescence des cellules vivantes, les biophotons. Il a été constaté que le nombre de biophotons émis dépendait de l’état de santé de la cellule. Beaucoup d’efforts de recherche ont été investis pour tenter d’expliquer la faculté des cellules à communiquer entre elles et ces biophotons, mais finalement sans succès.
Nous avons beaucoup de difficultés à accepter qu’un grand nombre de processus vitaux se déroulent sur des plans qui échappent au monde physique, dont la nature et non-matérielle et qui de ce fait, ne peuvent pas être observés avec des instruments physiques. La transmission de pensées, comment ça fonctionne ? Si peu de personnes sont aujourd’hui capables de transmission de pensées, le phénomène a été confirmé de nombreuses fois sans pouvoir l’expliquer rationnellement, en se basant sur ce que nous connaissons du monde physique. Mais ça fonctionne, indépendamment du fait que nous puissions en expliquer ke fonctionnement. En observant le fonctionnement cellulaire et le fonctionnement de nos organes et structures, j’ai observé que la transmission de pensées était omniprésente à travers notre corps. Prenons l’exemple le plus classique: la colonne vertébrale. Faisons l’analogie avec un groupe d’acrobates en train d’effectuer un spectacle où ils se grimpent dessus et tout en haut se trouve, en parfait équilibre, la plus jeune et la plus légère de tous. Pour pouvoir faire cela, ils doivent bien communiquer au prochain qui grimpe que celui qui est en dessous est prêt à accueillir le suivant. Eh-oui, quelle évidence. Pour notre colonne vertébrale, c’est exactement la même chose: chaque vertèbre doit pouvoir communiquer, d’une manière ou d’une autre qu’elle est prête à accueillir la suivante, et réciproquement, chaque vertèbre doit pouvoir obtenir le signal « c’est ok, tu peux te poser sur moi » de la vertèbre qui la précède. Si cela est le cas, tout va bien, si non, la vertèbre va émettre un signal de détresse et mandater les muscles latéraux de s’accrocher là où cela est possible, ça paraît tellement logique, non ? C’est vraiment cela qui se passe dans de nombreux cas de lombalgies et de maux dorsaux. Et comme les muscles latéraux ne sont pas du tout faits pour compenser l’appui vertical à travers l’axe de la colonne, il y a crispation et douleurs dorsales.
communication intercellulaire
Cette communication inter-tissulaire est un des outils du corps pour fonctionner, et pourtant, nous avons à peine quelques idées là-dessus. Je ne voudrais pas, par mes propos, ignorer ou rejeter le fait avéré qu’à un niveau physique, de nombreuses substances véhiculés par le sang ou la lymphe, dont les hormones et les neurotransmetteurs, sont à l’oeuvre pour réguler le fonctionnement du corps. Ces substances permettent à des fonctions corporelles situées loin l’une de l’autre, par exemple la thyroïde et la glande surrénale de savoir ce que fait l’autre. Mais à l’intérieur d’une glande, la cohérence de l’action, par exemple la sécrétion d’une hormone, par exemple l’insuline dans le pancréas, dépend de nombreuses cellules à l’oeuvre, effectuant la même tâche et cela de manière harmonique. Et s’il y avait de la discorde dans nos organes, ou des émotions parasites qui viennent polluer la communication intercellulaire ou inter-tissulaire ?
Se mettre à l’écoute de la communication intercellulaire est un des pans de la LMT (Libération de la mémoire cellulaire). Cette technique ouvre ainsi une voie nouvelle pour comprendre et libérer des blocages corporels.

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